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Les séquelles musculaires.

  5. Les séquelles. Habituellement, les désinsertions musculaires ne laissent pas de séquelles. Dans certains cas cependant, en cas de lésion importante avec rétraction (stade 3), le muscle peut garder des séquelles qui peuvent être la source de douleurs voire de récidive de désinsertion. 5.1. Les hématomes enkystés. 5.2. Les cicatrices rétractiles. 5.3 Les rétractions […]

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Les « déchirures » des muscles du mollet.

Les pathologies musculaires les plus fréquentes au niveau du mollet sont le tennis leg et les désinsertions myoaponévrotiques du soléaire. Le « tennis leg ». Le tennis leg est une atteinte traumatique aiguë fréquente du jumeau interne (gastrocnémien médial). Cette lésion concerne typiquement le sportif vétéran ayant réalisé une contraction « à froid » de son triceps sural (jumeaux

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Les « déchirures » des adducteurs.

4.3.1 Le moyen ou long adducteur. Les désinsertions myo aponévrotiques du long adducteur sont relativement fréquentes. Il existe deux types principaux de désinsertion : les désinsertions proximales, les désinsertions périphériques. Les désinsertions tendineuses proximales du long adducteur. Les désinsertions proximales peuvent être complètes ou incomplètes. Le délai de reprise est relativement long jusqu’à 3 mois

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Les « déchirures » du quadriceps.

Le quadriceps, comme son nom l’indique, comprend quatre muscles, le droit fémoral, le vaste latéral (externe), le vaste médial (interne) et le vaste intermédiaire (crural). C’est le muscle d’extension de cuisse. Les désinsertions myo aponévrotiques concernent avant tout le muscle droit fémoral, muscle de l’extension et du shoot. Le droit fémoral. Le droit fémoral est

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Les « déchirures » des ischio-jambiers.

Les muscles ischio-jambiers sont les muscles qui relient l’ischion (tubérosité du bassin) à la jambe.  Ce sont : – le muscle biceps fémoral – le muscle demi-tendineux – le muscle demi-membraneux. Les lésions musculaires traumatiques des ischio-jambiers sont les plus courantes en pratique sportive. Elles concernent le plus souvent le muscle biceps fémoral. 1. Le muscle

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Les déchirures musculaires.

Les déchirures musculaires ou désinsertions myo-aponévrotiques sont fréquentes en pratique sportive. Ces lésions, lorsqu’elles sont de petite dimension, ne laissent le plus souvent aucune séquelle. Les lésions musculaires plus graves peuvent laisser des séquelles  : récidives fréquentes, impotence fonctionnelle, atrophie, point douloureux, perte de force… L’imagerie permet d’analyser ces lésions et de prévoir un traitement

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Imagerie des prothèses de genou.

Les douleurs des prothèses du genou. Les prothèses du genou sont couramment posées chez les patients âgés souffrant d’arhrose. Elles sont le plus souvent très bien tolérées. Elles peuvent rarement être douloureuses. Une des causes les plus fréquentes est le conflit de la prothèse contre les parties molles périphériques. Le conflit avec le tendon ilio

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La pathologie ostéochondrale de l’os naviculaire.

L’os naviculaire ou scaphoïde tarsien peut être le siège de pathologies spécifiques touchant l’os ou le cartilage. L’ostéochondrose ou maladie de Kohler-Mouchet. Il s’agit d’un affaissement de l’os naviculaire survenant pendant la première décade. Cette ostéochondrose correspond à une ostéonécrose aseptique. Après mise au repos la restitution ad integrum peut parfois survenir dans un délai

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L’échographie de l’appareil locomoteur.

L’échographie de l’appareil locomoteur est la technique qui a le plus évolué ces dernières années. Le développement de sondes de haute fréquence, la publication de nombreux travaux scientifiques, la promotion des sociétés savantes (GEL, SIMS en France, ESSR en Europe) pour cette technique ont permis des progrès majeurs ces dix dernières années. Cette technique devient aujourd’hui l’examen

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La radiologie interventionnelle en pathologie de l’appareil locomoteur.

La radiologie interventionnelle consiste à réaliser des gestes (ponction-biopsie) sous guidage radioscopique ou, par extension, sous contrôle échographique ou scanographique. Ces gestes sont le plus souvent réalisés par le radiologue. On distingue les actes diagnostiques et les actes à visée thérapeutique. Les actes à visée diagnostique sont essentiellement des prélèvements ciblés de cellules, liquide ou

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